sont histoire
L'orsque flore régnait sur le monde végétal, les fayettes, demoiselles, nymphe, bacchan-soeurettes, huldre, giane, vily, vouivre et leurs suivantes vivaient leur age d'or sur l'étendue des bois et des foret, chacune possédant son chataeu de verdure: sont lac ,sa clairiére, sa roche, sa chénaie, sa saulée, son massif de fleurs, son if. Bien sur , hyper-féminines, ces exquises créatures n'étaient pas toutes éthérées au point de n'étre que pures évanescences ailées. Au contraire, les drolesses, sous leur voles transparents, visages angéliques et cheveux solaires, ne manquaient jamais pour un oui ou pour un nonde se créper le chignon. Et comme ces belles, toutes expertes en magie, ne craignaient point utiliser leur dons, les duels et sorts, de philtres et autres escrime de baguettes magiques allaient bon train sous le feuillage fonfonnier brusquement transformé en champ de bataille...
pour une peccadille de peigne emprunté, de fard à paupiéres dérobé, un modéle de robe copyé, une rivalité amoureuse, un pet de lapin, une vexation, un regard de travers, un commérage...crac! pleuvaient de charmes, et contre-charmes, ensorcellements, parades, choc en retour, conjurations. Flore, de sont trone fleuri, encourageait ses favorites, arbitrait les perfides escarmouches, s'esclafait à certaines réussites : une souple naïade devenait tétarde à gros nez, des petons menus s'élargissaient en pied palmés, frappée en plein vol gracieux une sylphe retombait flasque crapaude, une svelte et élancée gwyllion se ratatinait en scrofuleuse avaortonne.
Ainsi Escarboucle-la-Blonde devint Dame Agaisse, qui se vengeant sur des chêne en fit les Hennefêtes. Ainsi naquirent de grotesques et monstrueux hybrides : nymphes-poissons, fées-champignons, elfes-escargots, toute une faune- flore saugrenue aigrie et vengeresse.
L a coquette parisette, parce que sa grace juvénile et son succés auprés des charmants princes et beaux bergers agaçaient la nymphe de l'ortie, la descendit de sont métre soixante-six à vingt-six centimétres. Heureusement flore qui l'aimait préserva sa beauté.
Depuis lors, Parisette ne cesse de déjouer les piége tendus par la tourmentine, l'herbe d'oubli, fille de la nymphe ortie. Leur homérques pugilats attirent toujours une foule de curieux amusés par les raclées que la jolie nymphe administre copieusement à la hideuse touffe haineuse.
descriptif
taille:
vingt-six centimétres
aspect:
adorable. long cheveux d'herbes, piquetés de fleurs.corps rose et cambré. Trés agile. Yeux bleu
vétement:
souvent nue, aime se parer de guirlandes de pétales, d'un cotillon de clochettesn d'une cape en aile de papillon.
habitat:
dans presque toute les foréts des pays au climat tempéré. Affectionne plus particuliairement les endroit tiédes et humides
nourriture:
fraises des bois, baies, myrtilles, pollen, fruit sec.
moeurs:
joyeuse compagne de jeux, on la surprend fréquemment en train de gambader parmi les elfes et les nains. Nostaligique de ses anciennes amours, ses sentiment iraient plutot vers les bucherons qu'elle va caresser durant sont sommeil tout en regrettant sa taille perdue. Ne vit qu'une saison. De sa dépouille gelée par l'hiver sort une nouvelle parisette, aux premiére chaleur.
activités:
Entre autres délivre les promeneurs ensorcelés par les envoutement de la tourmentine.
tiré de: " la grande encyclopedie des lutin" de pierre dubois.(grand elficologues)
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